Quelles sont les bourdes qui ont particulièrement marqué les médias cette année?
Où et comment les médias ont-ils cafouillé?
Quelles personnalités se sont montrées particulièrement maladroites et mal avisées lors de leurs interventions dans les médias?
Chaque année, l’équipe d’Influence désigne un ou plusieurs « Bogues de l’année » parmi les plus gros ratés médiatiques.
Le grand gagnant cette année est Le Journal de Québec, avec son édition du vendredi
6 janvier 2017.
Alors que leurs collègues de l’édition imprimée annonçaient la défaite du Canada face aux États‑Unis, l’équipe de l’édition Web du Journal de Québec, dans son empressement et sa fébrilité, a mis en ligne une erreur crève-cœur.
Après un match enlevant et apparemment trop long, les troupes de Dominique Ducharme se sont inclinées en tirs de barrage. En fin de compte, pour cette une, les seuls gagnants sont les ours polaires du zoo de Saint-Félicien.
En nomination cette année, on retrouve deux extraits télévisuels :
Lancement de la politique du logement à Toronto, le 22 novembre dernier.
Espérons que la nouvelle politique fédérale du logement soit mieux conçue que le pupitre utilisé pour l’annonce, qui n’avait manifestement pas été prévu pour toutes les grandeurs.
C’est en effet Peter Milczyn que l’on peut « voir ». Oui, oui, c’est bien lui!
Luc Lavoie à la Joute
Comme un oncle trop gris à Noël, Luc Lavoie a troublé le Québec, mais surtout Bernard Drainville, en affirmant que les écureuils trouvaient davantage grâce à ses yeux que les séparatistes.
En nous dévoilant ses désirs les plus intimes, il nous aura aussi permis de redécouvrir collectivement l’immense talent de Marc Labrèche qui a su saisir avec brio toute l’essence de ce malaise télévisuel.